Rêve Visite Pierre Percée

Nous arrivons depuis le village, devant le jardin qui a été tout refait. La facade a été repeinte en gris. On passe devant la partie des anciens vieux qui elle n’a pas trop bougé. Les arbres derrières ont par contre été tous rasés.

Un mec nous accueille par la cour, dans la cuisine qui été intégralement modernisée. Le salon également a été entièrement refait, avec tendance design.

La salle a manger est en travaux, les poutres en bois ont été remplacées par des enormes structures metalliques qui supportent le toit. L’étage est en travaux, les plafonds ont été pétés pour aller directement sous le toit, les murs sont en cours d’isolation.

Les garages du devant sont toujours en place mais il y a un gros denivellé derrière. En partant vers la foret on arrive vers une nouvelle zone industrialisée, il n’y a plus le super chemin le long du cours d’eau, tout a été nivelé, et on ne peux plus passer.

Reve 04/04 : Le manoir de l’horreur

Nous faisons une promenade en canoe avec d’autres en kayak. Nous arrivons le long d’une berge surélevée. En s’approchant et en se hissant sur la berge on peux voir un téléphone posé sur le bord, et un peu plus loin une maison légèrement délabrée, bordée de forêt, de style manoir.

Je prend le téléphone pour le restituer, et nous laissons les canoes au bord de l’eau pour aller vers la maison, voir si le propriétaire du téléphone s’y trouve.

Cependant une impression très désagréable se dégage des pièces que nous visitons et personne ne veux passer de pièce en pièce. Nous arrivons à une très longue penderie, qui fait peut etre plusieurs dizaines de metres de long, avec de part et d’autre des vetements démodés, avec tout au fond une porte qui semble mener vers une cave.

Personne n’ose ouvrir cette porte. On entend des sortes de gémissements diffus qui s’en échappent. La chair de poule nous prend. Surtout, personne ne prend quoi que ce soit de cette pièce, et de toute la maison en général.

Pris d’horreurs, et trop mal à l’aise pour poursuivre, nous ressortons.

Alors que nous ressortons, l’attaque commence, sans comprendre pourquoi, une personne avec nous meurt et explose dans une gerbe de sang. Nous nous dépéchons, horrifiés, de se rapprocher vers la sortie. Cependant la sortie est gardée, par des choses qui ont l’air de nous attendre.  il faut patienter un peu avant de s’enfuir.

Cachés à l’entrée de la maison, n’osant ni sortir ni entrer. Les personnes qui tiennent encore des objets de la maison sont en train d’attirer ces choses sur nous. Ils se font déchiqueter les uns après les autres.

Les cris en provenance de la cave redoublent d’intensité, il est temps de dégager.

Ni une ni deux nous nous efforçons de rejoindre nos canots pour nous rendre compte que les murs sont en train de s’animer. Evidemment quelques personnes se font aggriper par les bas reliefs de cette maison horrible.

Les murs sont décorés de rangées de frises horribles, et en les détaillant, (point que nous n’avions pas vu à l’aller), on se rend compte que chacune est animée et représente une scène d’exécution. Certaines contiennent même des dragons, des goules, des représentations de sorts magiques.

Seuls certains d’entre nous arrivent à rejoindre les canots pour s’enfuir…

 

Reve 01/04 : 18h55

Je suis en vacances chez Co.

Nous passons l’apres midi au lac style lac de pierre percée. Un beau lac de retenue avec une plage artificielle, bordé de montagnes.

Nous profitons de l’eau alors que le soleil se couche, on ressort pour se secher avant que l’ombre des montagne ne plonge la vallée dans l’obscurité. Un groupe de jeune filles saute sur la lisiere du soleil c’est amusant.

Alors que nous retournons vers l’appartement pour récupérer mes valises, Gil se rend compte qu’il ne trouve pas sa clé. Quand a la mienne dans mon sac, ce n’est pas la bonne. Le temps file et je crois me rappeler que mon train est a 18h55.

Seulement ma valise est à l’intérieur ! Ils ne stressent pas et vont voir un ami sérrurier qui leur ouvre la serrure. Le plus court est de prendre le tram, nous partons donc pour la gare en tram. Mais j’ai perdu mon billet dans la débacle !

Bien qu’il ne soit ni remboursable ni échangeable, nous espérons arriver à convaincre le controlleur/vendeur de billet.

Dans le tram je cherche mes affaires, mais toujours rien. Je sort du tram. Et je me rend compte que je me suis trompé d’arret. Je marche en direction de la gare en esquivant les voitures et les rames de tram tout en continuant à chercher mon billet.

Certaines des voies sont totalement inusité au vu de la rouille qui ronge les rails. Et finalement, je retrouve mon billet ! Mais le départ est à 18h05 et pas 55 ! Et il est 18h et je ne suis pas dans la gare. Je me met à courir pour entrer dans la gare bondée, et je vois que le train n’est pas encore parti, il est annoncé voie deux. Sur la voie 1 un énorme troupeau de gens montent à bord de leur train.

Ayant distancé Co, je me retourne et je la vois entrer dans la gare, je lui fais un bisous, m’excuse de ne pas pouvoir lui rendre un livre  prété, et m’élance vers le train qui ne saurait tarder à partir.

Le sprint m’essoufle et j’entend le signal de la porte qui se ferme. Je m’élance vers le premier wagon de premiere classe pour essayer d’entrer avant que les portes se ferment. Un dernier saut et je ressent un frisson de victoire alors que les portes se referment sur moi.

Reve 31 mars : L’enlèvement

Je décide de partir a nouveau en voyage au Vauclin. Cependant je suis assez décu de voir qu’il s’agit encore du meme séjour mais avec des gens différents. Les animateurs font les memes blagues, je me lasse vraiment très vite.

Je décide alors de partir seul en foret style vosgien pour faire une rando. Le chemin est magnifique, bordé d’arbres, et le sentier amene en haut d’une jolie montagne mais avant il faut passer par un village.

C’est ici que je me fais aborder et enlever par un vieux et un jeune fille , qui ne m’indiquent pas ce qu’ils veulent de moi. J’arrive à les attirer dans la maison de mamie et on se retrouve dans la petite chambre d’ami.

J’essaie tant bien que mal de faire croire que j’ai envie d’aller aux toilettes et ca marche, je prévient alors Man qui est chez mamie de prévenir la police. Pendant ce temps la fille joue avec mon portable et décortique son contenu (sms, mails).

Ils décident le lendemain de me faire aller acheter un ordinateur portable chez Boulanger. Ce que je fais mais je vole également un paquet de cacahouette à 5 centimes. Je leur indique ce que j’ai fait apres l’achat, et on me fait attendre le directeur. Lorsque je lui raconte que je suis enlevé et que j’ai volé pour qu’il prévienne la police, la directrice tombe dans les pommes…

Reve 29 mars : Les vélos flottants

Je suis dans la foret sur un chemin un peu désolé. Des branchesi bloquent le passage. Il faut donc se baisser pour éviter les branches, ou sauter par dessus. Il me faut donc parfois poser le vélo.

A chaque branche le paysage se désole un peu plus mais est également de plus en plus buea en terme de paysages alentours. Je me retrouve dans un paysage enneigé, avec un torrent violent à coté de moi. Il y a une orée sur ma gauche , le torrent à doite, puis immédiatement une falaise.

Je longe le torrent et j’entends des bruits à l’orée du bois alors que je continue ma progression dans la zone brulée.
Je tourne alors la tete derriere moi et je vois une moto qui sort de l’orée de la foret, passe sur un arbre sous lequel et suis passé, et va faire un saut de fou au dessus du torrent.

A l’arrivée du saut, sur une corniche dans la falaise, je vois une équipe dont un caméraman qui l’accueillent. Je me doute immédiatement qu’il doit s’agir d’un tournage sportif comme on en voit tant sur youtube.

Je continue ma progression et je vois un mec qui passe dans le torrent a bord d’un canoe avec une caméra.
Puis un peu plus tard un autre mec mais sur un vélo cette fois qui passa a nouveau dans le torrent!!! Je suis sur le cul et ne comprend pas comment ils font, ils doivent etre des super champions pour arriver a flotter avec leur vélos.
A noter qu’ils on des roues normales a premier abord.

Apres le passage de quelques vélos, qui me fait toujours aussi délirer, je sort ma caméra à moi pour les filmer passer. J’ai un peu de mal a cadrer, mais au bout d’un moment j’entends des bruits de pas devant moi.

Je vois arriver une équipe d’européens (je réaliser qu’au vu du paysage je suiss dans un pays stylé asiatique/hymalaya . Ils sont équipés de caméras sony.

Ils me proposent, comme c’est leur pause déjeuner d’aller prendre un morceau avec eux, ce que j’accepte.

Nous allons alors dans un restaurant du coin avec une vieille pas du tout aimable. Le mec devant moi commande son menu en francais (alors que j’arrive meme pas a lire le tableau du menu)

Il commande des boulettes de beuf en entrée puis en plat principal un truc que je ne connais pas.

quand vient mon tour je commande aussi des boulettes de boeuf et un autre truc différent de la personne devant moi.

A ce moment là je commence a comprendre le menu qui est super mal écrit mais j’ai déjà commandé à la carte, il est trop tard pour changer d’avis

A ce moment là la vieille sort les boulettes et les met a frire, puis elle sort aussi un espece d’énorme morceau de viande pané qu’elle met aussi a frire

Je me dis tant pis, meme si j’ai bien mangé les jours précédents je vais encaisser ce repas qui sera super riche.

Pour payer pas de probleme car j’ai ma carte ticket restaurant.

Nous sortons a l’extérieur et trouvons un place assise juste a temps avant que toutt un tas de personnes sortent aussi pour leur pause déjeuner.

On discute et je leur demande s’ils sont là pour le tournage sony, ils me répodent que oui que ce sont de sspécialistes de leurs domaines et qu’ils font du tournage pour la promo de leur nouveau modele de caméra. Cela fait quelques jours qu’ils sont déjà sur site à faire des stunts pour la caméra dans un cadre absolement fantastique.

Une fois finii je me rapproche d’un chemin de fer qui a été transofrmé en escalier (il y a des locaux qui montent ainsi que des équipes sony)

Je réalise que je leur ai déjà parlé et je leur dit que pour la randonnée ils n ‘ont pas besoin de trois jours mais s’ils sont sportins deux jours suffiront amplement. Il s’agit d’une randonnée qui t’amene au sommet d’une des montagnes alentours.

Minis-Rêves 26/03 et 27/03

26/03

Sur l’autoroute, avec un paysage de forêt, et alors que je ne conduit pas, il y a un ralentissment devant nous. En effet une voiture est garée en plein milieu de la voie.

Alors que la circulation accélère à nouveau, je dis attention car à mon gout tout le monde accélère bien trop vite. Bonne intuition : il y a une autre voiture arrêtée en plein milieu des deux voies. Super dangereux pour réaccélerer.

27/03

Sur une bordure de plage, avec une mer de type Caraïbes, je rejoins les amis dans un magasin de samoussa (avec un rideau type japonais devant). A l’intérieur de nombreuses personnes font la queue. Notre commande arrive. Nous mangeons super bien, et je sort du magasin sur la plage pour remettre mes chaussures.

Il y a des enfants qui me regardent mettre mes chaussures un peu spéciales. En effet, elles s’encastrent sous les talons. J’ai un trou dans les talons, carré, qui permet aux chaussures (au bout mâle), de s’insérer. La fixation semble automatique. Les enfant sont étonnés, et moi je fais le fier devant mes chaussures. Je suis le seul à avoir ces super chaussures, ils sont toujours à l’ancienne. Avoir un trou dans le talon ne me choque absolument pas.

Mais je réalise que je n’ai pas payé, et il faut enlever les chaussures pour entrer à nouveau. Pas envie. J’essaie d’appeler les amis pour payer à ma place avec mon nouveau téléphone.

Reve : Alignement dimentionnel

Des tornades apparaissent dans la ville, pour les enlever il faut aller a la source du problème.

La source du problème se situe dans une autre dimension, il faut donc en changer pour réaligner. Cependant il faut descendre de deux dimensions en profondeur afin de la trouver.

Nous descendons mais réalisons que la source de la perturbation n’est pas au deuxième tier mais au premier, on remonte donc d’une dimension.

De retour dans la première dimension, nous localisons la perturbation dans un champ. Je m’élance en aile delta depuis un lanceur situé a proximité. Les courants d’air sont tels qu’ils me permettent de faire du sur place. Je m’étonne même que le vent soit ausi stable.

Pendant ce temps Pa et Ge m’attentend au lanceur, et du haut de mon poste d’observation, je trouve une statue a moitié enterrée qui pourrait etre la cause du désaligment. J’attéris et fait signe aux autres pour qu’ils me rejoignent.

Je la déterre pour me rendre compte qu’il y a plein de saletés dans le trou. Petit à petit un passage se forme, et au fond du trou se revele etre une sorte de cave, pleine de diverses choses en vrac.

Afin de réaligner, il faut enterrer complètement la statue, et donc nous commencons à tout ranger pour libérer de la place.

La cave se révèle assez grande et contient un certain nombre de livres, d’étagères, de choses que les gens n’utilisent pas chez eux.

Alors que la journée avance, je prend l’échelle déjà présente dans la cave pour remonter hors de la salle car nous avons presque terminé de ranger, il faut juste rentrer ce que nous avons sorti le temps de ranger l’intérieur.

En sortant je realise qu’il y a des gens dehors, habillés de la même manière  que papa. Ils nous indiquent que nous avons  profané une tombe.

Pa leur indique l’aligment, et satisfaits de la réponse, ils descendent faire la fete dans la pièce/tombe que nous avons réorganisés.

Pendant ce temps, je continue de ranger les affaires qui sont dehors.

Lorsque la fête est terminée,  on sort tous et on peut voir que les mecs ont fait un toit en bois autour de l’entrée.

du coup on range tout et on ferme le toit, qui n’était donc pas la avant dans le champ.

Reve : Adjudant au centre de la terre

Je suis un adjudant chargé d’aider le capitaine à accomplir une mission : Etre les premiers à se rendre au centre de la terre à l’aide du trou creusé au fil des années. Ambiance steampunk, un peu à la dishonored.

Nous nous retrouvons dans un restaurant chic, à faire une escale avec mon capitaine, la cabine d’exploration est sur le départ, arrimée au restaurant.

Nous allons vers les toilettes.Le coin est bondé. Il y a de nombreuses perosnnes qui attendent, principalement des dames. Coté messieurs, absolument personne. Alors que nous entrons dans les toilettes hommes, nous réalisons qu’il ne s’agit pas de toilettes ! La pièce a été reconvertie en studio audio. La pièce dispose d’une guitare, d’un énorme ampli, ainsi que plusieurs macs. Les murs sont couverts de disques. Un homme est à l’intérieur. Au dessus de lui, un panneau : Ici, mon défouloir.

Le capitaine à l’air de le connaitre. Moi également mais c’est plus vague. L’homme salue la capitaine, mais m’ignore. Visiblement il semble décidé à ne pas nous laisser partir.

J’en profite, mi vexé, mi pour faire diversion : « Et moi je compte pour du beurre? » Il rigole.

Cela permet au capitaine de s’enfuir. De mon coté je termine la conversation.
Lorsque l’ont arrive enfin au niveau des toilettes, nous sommes repérés et il faut alors nous enfuir.

Je me pose donc en rempart pour permettre au capitaine de s’enfuir par la cabine, et je le vois partir en avant. Le capitaine arrive à se glisser entre les membres de la sécurité qui nous ont repérés, mais alors que le cercle des gardes se referme sur moi, la personne qui initialement m’avait bloqué le passage me demande alors ce que je vais faire maintenant.

Je lui répond alors : je vais rejoindre mon capitaine. D’un air tout à fait naturel et normal, absolument pas ébranlé par la situation qui devient difficile.

Alors, à ce moment, je me précipite dans le trou créé par notre vaisseau alors que le capitaine remet en marche la navette. Je vois la cabine dans laquelle se situe le capitaine déjà en train de descendre à forte vitesse. Je saute à sa suite dans le trou, et en chute libre j’utilise le cable qui guide sa descente pour me rapprocher de la cabine qui s’enfonce dans le sol a forte vitesse.

Grâce au câble j’arrive à me hisser petit à petit vers la cabine, mais il y a des plots de lave qui m’obligent à le lâcher (chaleur extrême). je repasse alors par moment en chute libre.

Alors que la descente infernale continue, je continue à me rapprocher de la cabine, jusqu’à finalement l’atteindre et à ouvrir la trappe qui me permet d’entrer. Le capitaine, alors que j’entre essouflé, semble à peine surpris de me voir. La situation semble normale pour lui, alors qu’il était parti sans moi, comme s’il savait que je le rejoindrais.

La chute libre continue en direction du centre de la terre.

Reve – La bataille des chateaux

Il était une fois, quatre châteaux qui s’affrontaient dans une
bataille sanglante pour la domination du territoire.
Peu éloignés, et tous séparés par de grandes étendues d’eaux,
seulement reliés par d’étroites bandes de terres marécageuses, ces
châteaux, dont les emblèmes jaunes, rouge, noir et vert se préparaient
pour la dernière bataille.

Je suis chevalier de la bannière noire, et nous avons une arme secrète
pour la bataille à venir. Je sais que chaque château a la sienne, mais
nous vaincrons. Alors que chacun prépare son armée dans une ambiance
tendue. Les forces du château noir se préparent d’une manière bien
différente. Une partie de notre armée restant composée de cavalerie
normale, l’autre partie est en armure légère et discrète.

Lorsque la bataille s’engage enfin, la partie légère s’empresse
d’emprunter les tunnels que nous avons creusés pour nous rendre sous
le château rouge et répandre notre peste. Pendant ce temps l’armée
noire encercle le château afin d’empêcher quiconque de sortir.

Je vais partie de l’armée légère, et je suis en charge de l’arme. Il
suffit de la poser dans un coin discret du château pour qu’elle se
mette à faire son oeuvre. Mon méfait effectué, je donne l’ordre à mes
troupes de ressortir au plus vite. Larme s’est déjà déclenchée, et je
vois bondir derrière moi des formes d’horreur que je ne préfère pas
affronter.

Nous faisons sauter le tunnel derrière nous, et pendant que le château
rouge se fait totalement éradiquer de l’intérieur, sans même avoir eu
le temps d’en sortir, les armées vertes et jaunes s’affrontent en
terrain bourbeux. Des bruits immondes de carnage s’élèvent depuis
l’enceinte de rouge, des cris de frayeur atroce, mais aussi des sont
inhumais et maléfiques.

La peste est bien faite. Lorsque qu’il ne reste plus d’humains chez
rouge, les monstruosités se retournent les unes contre les autres, et
il ne reste qu’à notre armée de détruire les quelques qui arrivent à
sortir du château.

Le temps passe, et notre armée se dirige discrètement vers le château
jaune, pour éviter le moins de pertes possible. Mon groupe se faufile
le plus discrètement possible dans le château jaune, pour libérer la
deuxième arme de peste. Cependant, entendant les cris monter du
château rouge, et voyant l’armée noire se diriger vers jaune, les deux
forces restantes font cause commune pour éradiquer les forces de noir
. Notre armée se retrouve coincée entre les armées et le château noir.

Pendant ce temps, inconscient du retournement de situation à
l’extérieur, je libère l’arme une nouvelle fois. Effet immédiat. Nous
nous dirigeons à nouveau vers la sortie, pour éviter l’infection, mais
nous nous retrouvons face à des portes closes. Notre sort scellé, nous
nous préparons à affronter l’indicible, notre propre création, notre
mort.

S’élèvent régulièrement des cris bestiaux, ricanant, comme jouant avec
leurs victimes. Ils sont inévitablement suivis de râles et de bruits
mat d’effondrement. Je préfère ne pas imaginer ce qu’il se passe à
deux portes de là, tandis que nous essayons tant bien que mal de
barricader la cave dans laquelle nous venons de nous réfugier.

Soudain, plus un bruit. Le château devient complètement calme. Puis
nous sentons une odeur de fumée, les armées vertes et jaunes viennent
d’enflammer le château jaune pour contenir la peste ! Des craquements
de bois retentissent, la chaleur monte, et nous entendons également
des grattements sur la porte de la cave.

Soudain, sous l’effet combiné des aberrations et de la chaleur, la
porte cède. Des dizaines de goules se précipitent dans la cave. Elles
ont faim. Nous attendons notre mort.

Reve imbriqué

Mal a m’en rappeller mais reve imbriqué

Premier niveau sortie maison type pierre percée pour prendre route avec passager du second niveau qui m’indique comment faire

afin de quitter ce niveau et de rejoindre l’autre il faut se retrouver en chute libre  donc on part sur les petites routes en voiture pour passer par dessus une rembarde

on trouve pas de coin possible alors on arrive face au niveau d’une cote qui permet de faire un tour dans la mer

et hop les entités bienveillantes en profitent pour nous récuperer et passage dans le second niveau