Rêve : échoué sur l’ile

Je suis en voyage avec un groupe. Nous arrivons devant un gué que nous devons traverser pour atteindre l’autre rive. Seulement le courant est particulièrement fort et nous pousse en dehors du chemin.

Alors qu’on essaie de traverser la rivière à dos de cheval, le cheval perd pieds sur la force du courant. Il est trop tard, il faut abandonner le cheval que je vois couler, emporté par le courant. Mes affaire partent avec et je me retrouver à lutter pour ma survie.

Je me laisse porter par le courant, au fil de l’eau. Je regarde laquelle des deux rives serait la plus proche à rejoindre, mais les deux me semblent particulièrement loin. La rivière s’est évasée, et le courant est plus calme. J’abandonne l’idée de rejoindre une rive et me laisse porter par le courant, à la dérive, en attendant une occasion quelconque.

Devant moi, je vois une île et j’essaie de la viser en économisant mes forces. L’ile s’approche bien trop vite à mon gout. Gros choc au contact, je ne pensais pas que le courant était si fort. Me laissant porter au rythme du courant je ne m’en rendait pas compte. Heureusement que je n’ai pas cherché à rejoindre une rive, cela aurait été impossible.

Arrivé en sécurité, je m’efforce de récupérer les autres qui dérivent aussi dans le cours du fleuve. On arrive ensemble à récupérer quelques affaires, mais nous sommes coincés au milieu du fleuve.

Démarre une phase d’exploration très sommaire autour du point d’arrivée. Il n’y a pas grand chose autour de nous. Toujours l’esprit pratique, j’essaie de pêcher mais rien ne mord.

Puis je me rappelle de nos affaires. Je fouille un de mes sacs. Tout au fond je dégote un gâteau. Complétement trempé et donc immangeable. Mais je me dis que je peux l’utiliser pour pécher et attirer les poissons.

Les autres ont aussi un gâteau dans leurs affaires. Ils le partagent lorsqu’ils sont découverts. Il semble qu’ils voulaient le garder pour eux initialement.

Vaguement dégouté, je pars seul faire un peu l’exploration de l’ile sur laquelle nous nous sommes échoués. Arrivé au sommet, je vois qu’en réalité il s’agit d’une sorte d’archipel d’iles avec eventuellement la possibilité d’en rejoindre d’autre, soit pour trouver des ressources, soit pour y trouver des secours.

Je redescend à l’opposé du groupe dans l’intention de changer d’ile. Pas besoin de nager, il suffit de passer à gué et cela me permet de passer d’ile en ile.

Soudain, mettant la main dans ma poche, je me rends compte que mon téléphone s’y trouve. Surprise. J’ai la possibilité d’appeler les secours !

J’appelle le 112 et tout en appelant, je me rends compte qu’en continuant à passer d’ile en il serait possible d’atteindre la rive.

L’appel abouti et la gendarmerie me demande de qualifier l’urgence. S’ensuit une sorte de débat car les urgences considèrent la situation comme non urgente et ne nécessite pas l’envoi de secours.

Cela me laisse sans voix et sans repartie devant son refus. Mais bon j’ai réussi réussi à trouver une sortie. Je met fin à l’appel et je repars, à la recherche du reste du groupe pour leur montrer comment quitter l’ile.

Mais pendant le temps de mon exploration qui m’avait amené vers la rive, eux m’avaient vu m’éloigner et quitter l’ile. Ils avaient donc commencé à me suivre.

Je les retrouve à un endroit un peu délicat. Pour changer d’ile, il faut sauter depuis une corniche dans un bassin. Mais on ne voit pas là ou on saute, car il y une paroi qui masque. Une sorte de ravin en mode canyoning avec une plage en bas pour changer d’ile.

Je leur indique depuis en bas comment faire, quand, regardant autour de moi, je vois un contournement possible qui évite de faire ce grand saut. Le contournement semble simple et faisable à pied sans se tremper dans l’eau.

A l’aide de signes, je leur indique le chemin, et vais à leur rencontre pour aller récupérer mes affaires laissées sur la première ile. Je me rend compte qu’ils ont tous plié leur affaires sans même m’attendre, je leur fait la reflexion que c’était pas bien sympa de m’avoir attendu et d’y avoir laissé mes affaires. Pas de réaction.

Je repart sur l´ile du départ où il n’y a plus personne et reprend mes affaires. Un bruissement attire mon regard, et je vois qu’un des gars n’a pas voulu quitter l’île initiale en suivant les autres. Il s’est tiré une balle dans la tête pensant qu’il n’y avait aucun espoir.

Devant cette vision horrible, tellement la vision est choquante, je n’arrive pas à ressentir d’émotion. Je lui ferme les yeux et quitte l’île définitivement.

Rêve boucle temporelle

A la maison de Saint Quentin, un soir, alors que je me prépare à aller me coucher, j’entends un bruit étrange venant de l’extérieur, comme un grondement de plus en plus fort. Cela vient du jardin, à l’avant de la maison.

Je m’approche prudemment de la fenêtre, et je vois à ma grande horreur un train foncer tout droit sur la maison ! Quelques secondes plus tard, c’est l’impact, et ma chambre et moi-même nous faisons totalement pulvériser.

Retour dans le temps… Alors que je me prépare à aller me coucher… eh mais j’ai pas déjà vécu ça ?

Alors que je me prépare à aller me coucher, j’entends un grondement à l’extérieur…

Je me dirige vers le salon prestement. Un train dégomme tout sur son passage, là ou je me trouvais précédemment. Je me dirige alors vers la cuisine, pour sentir quelques instants plus tard un couteau pénétrer entre mes omoplates.

Retour dans le temps… Alors que je me prépare à aller me coucher … Bon ok je suis dans une boucle temporelle, mais comment en sortir ?

Je passe un coup d’oeil dans la chambre qui va se faire exploser quelques instants plus tard, et je repère des oeufs que je n’avais pas vu précédemment. Mouais …

Pour éviter de me faire écraser je vais directement vers la cuisine, direction le cellier. Et je vois un énorme oiseau qui semble garder des oeufs. Hum … un usage potentiel pour les oeufs que j’ai vu dans ma chambre, je parie que j’aurai un usage quelconques des oeufs de l’oiseau, qui sont différents des oeufs de poule que j’ai vu dans ma chambre.

Malheureusement trop tard, me voila poignardé à nouveau.

A la manière d’un escape room, me voilà obligé de chercher des solutions à un ensemble d’énigmes qui mènent toutes à ma mort.

Je quitte la chambre en récupérant les oeufs, je vais vers le gros oiseau pour faire l’échange … mais il manque une étape. Le tueur me choppe toujours avant d’arriver à intervertir les oeufs.

Et plus je refais la scène, plus il y a de temps morts. Il semblerait qu’il me manque des indices pour débloquer la suite. La fin ? Se termine toujours par un petit coup de poignard…

Rêve :Chasseur de pierre précieuses

Dans un paysage paradisiaque, en bordure de mer, j’effectue des plongées pour observer les fond marins. L’eau est limpide, translucide. La plage est bordée d’arbres exotiques et les vagues sont présentes mais pas suffisantes pour remuer le fond.

J’aperçois alors au fond de l’eau un reflet qui attire mon attention. Il s’agit d’un étrange reflet au fond de l’eau et je plonge en apnée pour voir de quoi il s’agit. Je récupère l’objet étrange et remonte à la surface. De peur de le perdre, j’attends d’être au bord de la plage pour voir de quoi il s’agit.

C’est une pierre précieuse, une emeraude il semblerait. Avec les rayons du soleil qui commencent à devenir oblique, le fond de l’eau s’illumine ! Je repart de plus belle à la pèche aux pierres, et plus le temps passe, plus le soleil met en évidence des pierres de plus en plus grosses. Mon petit sac en maille se rempli de plus en plus. Mais il me faut plonger de plus en plus profondément et j’atteins mes limites d’apnée.

La curée n’est que de courte durée. En effet en remontant à la surface, je vois un bateau qui arrive vers moi à toute allure, trainant une drague immense. L’eau derrière lui est totalement trouble, soit à cause du sol retournée au fond de l’eau, ou une sorte de colorant pour empêcher toute concurrence… Privé de toute visibilité, je retourne au bord de la plage.

Rêve: Epopée spatiale

Je suis chef technicien sur une mission spatiale. Nous partons de la terre sans encombre et sans émoi, tant la chose est établie. Il ne se passe rien de notable lors du décollage.

Lors de l’orbite autour de la terre, nous passons pas loin de la lune, mais ce n’est pas notre objectif. Nous passons ensuite autour de la mini lune, plus loin de la Terre, mais beaucoup plus intéressante. Au cours d’une sortie dans l’espace à proximité de l’objet, je prend un selfie mais il est largement éclipsé sur les réseaux sociaux par l’actualité au sol. Peu importe ce n’est pas pour cela que je suis parti dans l’espace.

Alors que je rentre dans le vaisseau, l’équipage se prépare pour le cœur du voyage. Nous partons en effet pour une nouvelle planète ! Le trajet se passe lui aussi sans encombre, et nous arrivons en vue de la planète. Elle est majestueuse et toute blanche. Cette blancheur a permis à la planète de bénéficier d’un climat tempéré malgré sa proximité avec son soleil.

Nous nous préparons à l’aterrisage, je vérifie mes affaires, dans une sacoche. J’y retrouve bien mon couteau de combat et mon pistolet, tout est en ordre. Pendant cette vérification, je sens l’ambiance dans le vaisseau se tendre. Et je vois un duo dans l’équipage, armé et prenant le contrôle du vaisseau.

Cependant l’aterrissage est amorcé, et nous n’avons pas le temps de nous sécuriser. L’atterrissage se fait dans le chaos, et j’en profite pour piquer l’arme de l’officier de sécurité. En effet j’ai décidé qu’il serait plus intéressant de prendre le parti des mutins, bien qu’en ignorant la raison. Je trahis également…

Profitant de la confusion, nous nous échappons du vaisseau, ayant désormais atterri. Commence désormais une randonnée à trois dans des plaines totalement enneigées, expliquant enfin l’origine de la blancheur de la planète. La randonnée est exténuante, et une tempète arrive sur nos talons. Je préviens mes compagnons d’infortune que notre ancien équipage doit être en train de s’organiser pour nous prendre en chasse. La fille me répond qu’avec la tempète, les traces vont se faire effacer, entre le vent et les nouvelles chutes de neige.

Ce n’est que maintenant que je me rends compte de la température agréable tout à fait en désaccord avec la violence des éléments. En effet, l’air est respirable, la température dans les 20 degrés. Comment la neige fait-elle pour tenir ? Je n’ai pas d’explication mais cela nécéssitera des analyses ultérieures.

Au loin, dans un fracas assourdissant, nous entendons la fusée décoller. Je sais que c’est un leurre. Je préviens le groupe qu’il est certain qu’un groupe est resté en arrière. Pour nous chasser.

En effet, quelques instants plus tard, nous entendons le rover, modifié pour l’occasion en motoneige. Par contre je possède toutes les armes présentes sur le vaisseau, mais il ne faut pas sous estimer l’ingéniosité de notre équipage. Les entendant approcher à vive allure, je panique un peu en chercher mon pisotlet et les munitions. C’est le bordel dans le sac. Je tombe sur ma tablette de diagnostic, et je suis pris d’une inspiration soudaine. Je me connecte à distance au rover et en prends le controle.

Le crash est instantané, et le rover des neiges se fracasse en contrebas, au pied d’une falaise. Nous n’avons plus à nous soucier de nos poursuivants.

Alors que nous reprenons nos esprits, je leur demande pourquoi ils ont trahis. Ils m’expliquent alors qu’ils ont des problèmes de pénurie de protéine sur cette planète, et qu’ils sont déjà venus sur terre il y a plus de 115 ans pour en récupérer le plus possible. Et les provisions se sont épuisées depuis. Cependant cette fois ci, ils n’ont pas volé des provisions, mais du savoir, à savoir comment cultiver des protéines in vitro, pour pouvoir vivre en autonomie.

Ils me demandent alors pourquoi moi je les ai aidés. Parce que cela me semblait être le destin le plus amusant pardi !

Mini-Rêve île assiégée

Contexte ile perdue au milieu de l’ocean.

Lors d’une forte tempête, je me réfugie dans une grotte. La chaleur est tropicale, l’humidité au maximum. J’attends patiemment que la tempête passe, en regardant l’extérieur.

Et heureusement que je passe le temps comme ça! J’ai le temps de voir un groupe de pirates qui s’approche de ma grotte, pour prendre abri eux aussi !

Je me laisse couler dans un bras de mer calme, qui me permet de m’échapper en nageant un peu sous l’eau pour ressortir. La tempête passe. Et le soleil revient. La mer est d’une clarté impressionnante.

Maintenant il va me falloir rejoindre mon bateau, stocké dans une anse un peu plus loin, mais sans attirer l’attention, sachant que le groupe a l’air de s’éterniser devant mon abri de fortune.

Rêve apocalypse zombie

Contexte d’apocalypse zombie

Commence dans un espace un peu sécurisé, avec des champs pour la culture. Une attaque zombie nous en déloge, et nous partons à la recherche d’un meilleur abri.

Nous arrivons en ville, et on tombe sur un train magnétique, qui s’il est toujours opérationnel, pourrait proposer un abri pour tout le monde. En effet, alimenté par énergie solaire et sur une piste dédié, impossible que les zombies nous embêtent.

On monte dans le train, qui se met en marche, et nous ramène étonnamment aux champs, qui semblent déserts.

C’est peut être l’occasion de se les approprier a nouveau pour avoir une source de nourriture. Alors qu’on descend, on se fait attaquer par ceux qui étaient resté derrière.

On essaie alors de les convaincre que nous ne les avons pas abandonnés, et que le mieux serait qu’ils nous rejoignent pour faire le ménage dans les champs, et prendre abri dans le train. Le train faisant une boucle, il serait alors facile de revenir dans les champs pour faire le ménage, et entretenir les plantations la journée.

Reve Jeu ascension montagne

Reve jeu

Dans un décor flottant, un grand couloir qui monte en prairie, qui s’enroule autour d’une grande montagne en pic. Le décor est très montagneux, peu de végétation, quelques traces de neige, beaucoup de rochers, à part le chemin en prairie qui nous permet de monter.

Une arche végétale nous permet d’atteindre le pied de la montagne.

Nous la traversons avec l’équipe, et en arrivant au pied de la montagne il y a une grotte que l’équipe nettoie. Quelques créatures mineures qui ne nous posent aucun soucis.

Nous arrivons à un checkpoint, toute la grotte est nettoyée. A une étape intermédiaire de la montagne, une sorte de temple activateur se reveille, les inscriptions s’allument de couleur blanche.

Je retourne au tout début car il semble que j’ai oublié de parler à un pnj tandis que je dis à l’équipe d’aller voir le temple. Alors qu’ils s’en approchent le temple s’active.

En bas, un robot cassé devient actif, et je lui parle. Il m’est possible de monter dessus et alors un pouvoir avec un énorme saut devient actif.

Je l’utilise et une énorme fusée s’enclenche, je vois le sol s’éloigner de plus en plus vite. Alors que nous dépassons la fusée, je vise le point d’atérrisage au sommet de la montagne, notre objectif.

Alors que je m’en rapproche, juché sur mon robot, l’énorme méchant que nous étions sencés ne pas reveiller s’éveille. La magie crépite au sommet de la montagne, et je sens une sorte de lien s’établir avec lui.

Il s’eveille de son sommeil millénaire. En émergeant peu à peu de sa trance, il émet des ondes d’énergie, comme s’il s’étirait.

“ Wouaaaaaahouuuuugraaaahhhhh”

Une onde beaucoup plus forte arrive, et je suis toujours en phase d’aterrisage. Frappé de plein fouet, je part à une vitesse totalement hallucinante parallèle au sol.

Loin de la montagne.

Le sol défile à une vitesse folle, et je découvre tout un continent de ruines, de végétation, de lacs, de foret, de mon point de vue unique. Cette poussée anormale ne cesse de me rejeter, loin du groupe, et loin de mon objectif.

Parfait pour la mise en scène du grand méchant d’une extension :p

Rêve exercice de guerre

Contexte : Camp d’entrainement

Les dortoirs sont spartiates. A même le sol. Il s’agit d’un théâtre réquisitionné et complètement transformé. Nous sommes dans les coulisses. L’équipement évidemment n’est pas à la hauteur. Il n’y a pas de salle de bain, pas de toilettes. Seul un rideau dans un coin et un tuyau d’arrosage pour se laver.

Les officiers arrivent. La journée sera divisée en trois ateliers thématiques. Au programme, marche, entrainement aux armes, course à pied.

La journée est bien remplie. Équipé d’un énorme fusil sniper, je retourne au dortoir. Epuisé, je cherche une douche. J’ai oublié qu’il n’y en avait pas. Je pose mon fusil sur le lit, et je vais dans le coin de la salle pour utiliser le tuyau.

J’entends dans la grande salle de théâtre un nouveau groupe de recrue qui arrivent, plus jeune que moi. Je me dépèche de terminer de me laver, n’ayant pas envie qu’ils me voient à poil.

Mon camarade de combat, avec qui je n’ai pas fait tous les exercices, utilise également la douche. Pendant ce temps, les recrues ont l’air de s’agiter. Une force d’assaut pénètre dans le théâtre, nous sommes quasiment encerclés.

Je me dépêche de m’équiper, je met mes chaussures de randonnée, et j’épaule mon fusil. Nous sortons par une fenêtre et tachons d’évaluer la situation. Elle n’est pas fameuse. Devant nous s’étale un champ de bataille, avec un statut quo qui semble s’installer.

Notre camp n’arrive pas à repousser le front. Pour forcer les choses, les organisateurs lâchent des tigres derrière nous pour nous forcer à avancer. Plus le choix. Le théâtre est condamné.

Nous prenons une direction tangente, pendant que les tigres se rapprochent et essaient de nous encercler. Nous arrivons au sommer d’un rocher avec de nombreuses directions possibles. Trop tard, nous sommes encerclés.

La seule échappatoire est de sauter dans le lac, sachant que les tigres ne nous suivrons surement pas.

Le saut est impressionnant. Mais un groupe de tigres est déjà en train de nager en contrebas ! Il devrait être possible de les esquiver en nageant sous l’eau. Malheureusement je n’ai plus de munition suite à l’entrainement, sans quoi j’aurai fait le ménage dans le lac avant le saut. Claire saute en premier, puis Cyril et je les suis.

La chute est plus courte que prévue, mais à la réception, je perd une chaussure dans l’eau, qui coule aussitôt. Dans la précipitation, je n’ai pas eu le temps de la lacer correctement.

Nageant tant bien que mal, on arrive quand meme a les éviter, pour arriver à un entrepôt, un peu plus loin sur la berge. Les tigres se lassent de nager et rejoignent le rivage. De notre coté, on pense trouver des gens qui pourraient nous aider, car la situation est vraiment en train de dégénérer.

Je suis à la traine, car j’ai conservé mon fusil avec moi, hors de question de le laisser couler derrière moi. A peine arrivé, Claire s’écrit que c’est le Jackpot. Pourtant, me hissant sur le sol, je ne vois personne dans le coin.

L’entrepôt contient quantité d’armes, toutes plus exotiques les unes que les autres. Désignant une caisse ouverte, Claire me dit :

– Regarde ce joujou, et celle-ci est l’une des moins sympa !

Elle épaule un énorme truc qui ressemble à un lance missile, avec à la place du missile, une extrémité un peu ronde qui semble lancer des trucs d’énergie. Une sorte de fusil Tesla.

Vis à vis des tigres, nous sommes protégés par un grand grillage, qui part de la berge et s’éloigne au loin, on les voit roder de l’autre coté en train de chercher un point de passage.

Claire continue a fouiller et éclate de rire:

– Eh regardes tu vas pouvoir changer de chaussure.

Elle désigne un énorme tas de caisse, qui contient des chaussures de toutes tailles, en deux modèles. Un qui semble adapté pour la neige, et des sortes de tennis que je chausse en remplacement des chaussures de randonnée que j’ai perdues.

On s’enfonce un tout petit peu plus loin dans les terres car nous avons vu une sorte de village un peu plus loin. Il est de l’autre coté du grillage, et semble abandonnée avec des débuts d’incendie… surement des obus perdus.

Alors que l’on repart vers l’armurerie, je discerne des ombres qui s’en approchent, perpendiculairement à nous. Je fais signe à Claire et à Cyril de rester discrets.

Les inconnus sont noirs, et ne parlent pas notre langue. Ils sont équipés de l’arme que Claire m’a montré, surement fraichement pêchée dans l’armurerie. Il tire un coup en l’air, qui ressemble furieusement à un coup de semonce. Un énorme éclair jaillit de l’arme.

Ils s’expriment dans un anglais primitif, et nous essayons de nous rapprocher d’eux pour au moins pouvoir essayer d’engager une conversation.

Mini reve 18/04 et 20/04

18/04 : Créateur de jeux vidéo, un jeu de stratégie (str) en se basant sur les 3 factions style anno : ecolo, pollueur, normal. La base de départ est a coté d’un volcan et j’explique qu’il est possible de positionner ses panneaux electriques (faction ecolo) d’une certaine manière qu’il est possible de les upgrader sur place et ainsi réduire l’espace nécéssaire pour la génération d’energie (a la minecraft)

20/04: Articifier, ville style saint quentin, mise en place d’un énorme feu d’artifice. Les enfants sont étonnés car il y a tout plein d’explosions au début. J’explique que c’est normal si l’on veut faire un final grandiose.

Reve : Machine à cuisine st quentin

A saint quentin lors d’un très grand repas de famille. On installe une machine étrange pour faire mijoter la viande avec de nombreux tuyaux qui partent dans tous les sens, à la manière d’une distillerie.

La machine est installée au niveau de l’étendoir, derrière la maison, et tout le monde est à l’avant. Pour ma part je suis chargé de mettre l’appareil en marche, et Man a mis tous les ingrédients dans la cuve principale, en verre.

On peut voir flotter des pommes, des légumes, ainsi que de la viande.

Cependant il y a un problème : il manque un des tubes pour la circulation des fluides. Je prend donc un tube en plastique pour remplacer, et je met la machine en marche. Hélas c’est la catastrophe ! Tous les ingrédients passent dans les tubes (on voit des pommes partout) alors qu’ils sont censés rester dans la cuve principale !

J’essaie de diagnostiquer l’origine du problème, en fouillant, fouillant, je vois qu’il manque une grille en bas de la cuve qui permet justement de filtrer les gros ingrédients. Nous cherchons ces grilles partout dans les garages,  mais rien de rien. Alors pour remplacer, nous essayons d’utiliser du grillage. Mais le problème est que les ingrédients sont déjà dans tous les sens dans la machine…