Je suis en vacances chez Co.
Nous passons l’apres midi au lac style lac de pierre percée. Un beau lac de retenue avec une plage artificielle, bordé de montagnes.
Nous profitons de l’eau alors que le soleil se couche, on ressort pour se secher avant que l’ombre des montagne ne plonge la vallée dans l’obscurité. Un groupe de jeune filles saute sur la lisiere du soleil c’est amusant.
Alors que nous retournons vers l’appartement pour récupérer mes valises, Gil se rend compte qu’il ne trouve pas sa clé. Quand a la mienne dans mon sac, ce n’est pas la bonne. Le temps file et je crois me rappeler que mon train est a 18h55.
Seulement ma valise est à l’intérieur ! Ils ne stressent pas et vont voir un ami sérrurier qui leur ouvre la serrure. Le plus court est de prendre le tram, nous partons donc pour la gare en tram. Mais j’ai perdu mon billet dans la débacle !
Bien qu’il ne soit ni remboursable ni échangeable, nous espérons arriver à convaincre le controlleur/vendeur de billet.
Dans le tram je cherche mes affaires, mais toujours rien. Je sort du tram. Et je me rend compte que je me suis trompé d’arret. Je marche en direction de la gare en esquivant les voitures et les rames de tram tout en continuant à chercher mon billet.
Certaines des voies sont totalement inusité au vu de la rouille qui ronge les rails. Et finalement, je retrouve mon billet ! Mais le départ est à 18h05 et pas 55 ! Et il est 18h et je ne suis pas dans la gare. Je me met à courir pour entrer dans la gare bondée, et je vois que le train n’est pas encore parti, il est annoncé voie deux. Sur la voie 1 un énorme troupeau de gens montent à bord de leur train.
Ayant distancé Co, je me retourne et je la vois entrer dans la gare, je lui fais un bisous, m’excuse de ne pas pouvoir lui rendre un livre prété, et m’élance vers le train qui ne saurait tarder à partir.
Le sprint m’essoufle et j’entend le signal de la porte qui se ferme. Je m’élance vers le premier wagon de premiere classe pour essayer d’entrer avant que les portes se ferment. Un dernier saut et je ressent un frisson de victoire alors que les portes se referment sur moi.